Le pont de bois couvert

Unique en France, classé monument historique le 20 juillet 1992, son origine est controversée.

Par l’arrété du 7 février 1851 le préfet de l’Indre autorise la construction d’un pont en charpente près du Moulin remplacement d’un vieux pont quelques années plus tard alors que la ligne de chemin de fer est inauguré depuis le 2 mai 1854 le préfet par un autre arrêté daté du 17 novembre 1855 autorise le comte de Poix à construire un pont de bois pour réunir les divers héritages dont il est propriétaire. Le pont a été restauré en 2001.
À l’entrée de la grotte d’où une partie des pierres furent tirées pour la construction du viaduc, à gauche, les traces d’extraction de sarcophages.

Ce pont en bois couvert est unique en France. Il s’agit d’un pont réalisé entièrement en bois qui a reçu une structure également en bois soutenant un toit.

Il est constitué de deux culées en pierre située sur chaque rive de la Bouzanne reliée entre eux par une structure porteuse réalisée par deux poutres triangulées. Le tablier est constitué de planches. De part et d’autre du tablier des murs en bois soutiennent la charpente du toit. De chaque côté du pont, le toit est soutenu par des murs en pierre de taille maçonnés. L’assemblage est réalisé à l’ancienne par des chevilles en bois. Le pont a une longueur de 20 m, une largeur utile de 3,50 m et une hauteur de 3,50 m. Il a été classé Monument historique en 1992 et a été restauré en 2001.

Par l’arrété du 7 février 1851 le préfet de l’Indre autorise la construction d’un pont en charpente près du Moulin remplacement d’un vieux pont quelques années plus tard alors que la ligne de chemin de fer est inauguré depuis le 2 mai 1854 le préfet par un autre arrêté daté du 17 novembre 1855 autorise le comte de Poix à construire un pont de bois pour réunir les divers héritages dont il est propriétaire.

En face du pont sur la rive gauche de la Bouzanne se trouve une ancienne carrière souterraine (clos par une grille) et une grotte (également close). La carrière a fourni les pierres pour la construction du viaduc. D’autres carrières existent le long du vallon. Ces carrières sont anciennes. Les Romains y extrayaient déjà les pierres pour la construction des monuments d’Argentomagus.